Le piano qui chante

Le piano qui chante

Festival de Lasne, janvier 2012

Festival Musical de Lasne

Eglise de Couture Saint Germain

Concert du 29 janvier 2012


 

Thibault Lavrenov, violoncelle

Michaël Ekmektchian piano

Frédéric Rouel, piano

 

 

Franz Schubert

Sonate pour arpeggione et piano en la mineur D. 821.

Allegro moderato

Adagio

Allegretto

Thibault Lavrenov et Frédéric Rouel


 

Francis Poulenc

Sonate pour violoncelle et piano

Allegro,Tempo di Marcia

Cavatine

Ballabile

Finale

Thibault Lavrenov et Frédéric Rouel


 

Pause


 

Sergeï Rachmaninov

Sonate pour violoncelle et piano en sol mineur op. 19

Lento - Allegromoderato

Allegro Scherzando

Andante

Allegro mosso

Thibault Lavrenov et Michaël Ekmektchian

 

 

 

 

 

 

FESTIVAL DE LASNE

"Pour ce 138ème concert du Festival Musical de Lasne, nous revenons à un effectif plus réduit. Ce concert est entièrement consacré à la sonate pour violoncelle et piano.


Franz Schubert (Vienne 1797 – Vienne 1828)
Sonate en la mineur pour arpeggione (violoncelle) et piano D 821. Allegro moderato Adagio
Allegretto
Le luthier viennois Johann Georg Staufer (1778- 1853) avait construit en 1823 à Vienne un instrument frère à la fois du violon (par sa forme) et de la guitare (par le nombre de ses cordes : six), qui portait le nom d'arpeggione - c'est avec la désignation d'Arpeggione, écrite à la main sur la sonate de Schubert, que s'imposa ce nom nouveau de l'instrument, ou quelquefois guitare violoncelle ou encore guitare d'amour.
Vincenz Schuster fut le virtuose de cet instrument éphémère et le fondateur d'une école pour promouvoir l'arpeggione; c'est lui qui, très probablement, commanda à Schubert une sonate destinée à prouver la valeur musicale du nouvel instrument
Un instrument, guitare d'amour, semblable de forme à la guitare habituelle, seulement de plus grande étendue, tendu de cordes filées et de cordes à boyau, qui ne sont cependant pas pincées par les doigts mais mises en vibration par un archet; l'instrument, en ce qui concerne la beauté, la plénitude et la douceur du son, se rapproche du hautbois dans l'aigu et du cor de basset dans le grave. Il se prête tout spécialement à une exécution remarquablement facilitée des passages chromatiques même aux doubles cordes (Allgemeine Musikalische Zeitung, 30 avril 1823).
Schubert n'imita pas l'exemple de Haydn, qui avait composé une centaine d'œuvres pour un autre instrument insolite de la famille des violes (le baryton) : il se limita à une seule œuvre pour Arpeggione, mais bien sûr Staufer n’était pas son employeur.
La sonate fut écrite très rapidement en novembre 1824, ce dont témoigne le manuscrit particulièrement peu soigné. Elle fut exécutée avant la fin de l'année dans la maison de Schuster,
Schubert étant au piano. Il ne reste toutefois aucun document sur cette exécution.
La première édition, qui comportait des transcriptions pour violon et violoncelle, n'eut lieu qu'en 1871. Il y eut, d'autre part, des arrangements pour alto ou pour guitare ou même pour clarinette, et même des transcriptions orchestrales de la partie de piano.
Ceux qui nous suivent depuis nos débuts se souviennent peut-être de la version pour alto donnée par Thérèse-Marie Gilissen et Jean- Claude Vanden Eynden à l’église de Maransart, le 26 mars 2000.
Le premier mouvement, allegro moderato, est en la mineur. Son premier thème, mélancolique, est d'abord exposé au piano mais vite repris par l'arpeggione; c'est celui-ci qui énonce le deuxième thème, vif et dansant. Le développement, après un unique énoncé du premier thème amplifié, est en fait un jeu mené par l'arpeggione autour du premier thème; une très belle transition, au climat soudain inquiétant, amène la réexposition, au cours de laquelle il revient à l'instrument vedette d'exposer cette fois tour à tour les deux thèmes. La conclusion reste dans la ligne mélancolique du début du mouvement.
Le deuxième mouvement est un adagio en mi majeur, conçu comme un lied. Sans doute le sommet de l’œuvre, il déploie longuement une de ces magnifiques mélodies dont Schubert a le secret; à l'arpeggione revient le chant rêveur; au piano l'accompagnement calme et discret. L'intérêt se porte sur les qualités expressives de l'instrument vedette; à lui d'achever le mouvement sur quatre mesures d'une cadence qui introduit directement au final.
Le final tient à la fois du Rondo et de la Sérénade. Un thème en la majeur agréable et d'allure populaire, sorte de refrain, intervient à trois reprises. Les deux couplets font contraste. Le premier est en ré mineur, à la hongroise ; le second en mi majeur, plus développé, oppose au thème à la hongroise de nouveaux éléments mélodiques dont la saveur et la succession ininterrompue, à l'opposé de tout travail thématique, donnent à ce mouvement un caractère tout empreint de sève populaire : ici, la simplicité, la décantation même du discours atteignent d’emblée et presque paradoxalement aux plus hautes sphères.
Cette sonate, œuvre de commande destinée à la promotion de l’instrument, a largement dépassé son objectif primitif pour nous offrir une œuvre, de détente certes, mais de première qualité.
C’est là tout le génie de Schubert."

 

Francis Poulenc (Paris 1899 – Paris 1963)
"Sonate pour violoncelle et piano
Francis Poulenc reste trop souvent dans l'esprit du public le compositeur de jeunesse du Groupe des Six, exubérant et étonnant, pratiquement génial dans ses ouvrages vocaux, tant son art mélodique était parfait. C'est oublier que si Poulenc n'aimait guère, en effet, la composition symphonique, il se révélait aussi un grand technicien dans les œuvres concertantes ou à nombre restreint d'instruments.
La sonate pour violoncelle et piano que nous entendrons aujourd’hui a eu une genèse longue et difficile. Les circonstances historiques expliquent peut-être cette genèse difficile. Alors que la Seconde Guerre mondiale se prépare, la mobilisation générale est décrétée en France en août 1939. Poulenc travaille à la réécriture du sextuor et de l'instrumentation des Cocardes ainsi que les Fiançailles pour rire.
En juin 1940, Poulenc est affecté à Bordeaux et note quelques mesures de musique lors d'un court séjour à Cahors. En juillet, il est démobilisé après l'armistice et rejoint une amie à Brive-la-Gaillarde et esquisse la sonate pour violoncelle ainsi que l’Histoire de Babar, le petit éléphant et Les Animaux modèles.
Il faut attendre les suites de la guerre qui verront l'écriture de plusieurs œuvres dont une majeure, la cantate Figure humaine pour que Poulenc se remette à l’écriture de la sonate. Il reprend l'ébauche commencée en 1940 à la demande de son dédicataire Pierre Fournier.
Demeurée dans les papiers du compositeur depuis plusieurs années, la sonate pour violoncelle et piano n'est finalement achevée qu'en 1948. Elle a été créée à Paris en 1949 par le compositeur au
piano et Pierre Fournier au Violoncelle. Elle a été publiée chez Heugel à Paris
C’est la seule sonate de Poulenc en quatre mouvements qui sont tous de forme ternaire, ayant une section centrale contrastée. Le style de l’œuvre peut être qualifié à la fois de néobaroque et néoclassique. C’est peut-être cette hésitation qui a refroidi certains musicologues.
Je suppose qu’il est inutile de vous dire que tous ne sont pas de leur avis."

 

"Sergeï Rachmaninov (Oneg 1873 – Beverley Hills 1943)
"Sonate en sol mineur pour violoncelle et piano op. 19.
Lento – Allegro moderato Allegro Scherzando Andante Allegro mosso
La Sonate pour violoncelle et piano de Rachmaninov date de 1901. Le compositeur sortait d'une longue et grave dépression cérébrale imputable à l'échec de sa première Symphonie (1897) à Saint-Pétersbourg, et aussi aux désordres de sa vie privée notamment l'excès d'alcool. Pendant deux ans, il ne put écrire une seule note. Le traitement du psychiatre Nicolaï Dahl lui fit retrouver ses facultés créatrices et son inspiration, intactes.
A 28 ans, Rachmaninov revenait à la musique avec sa 2ème suite pour deux pianos, le 2éme concerto pour piano - et notre sonate dédiée au violoncelliste Anatoly Brandoukov pour lequel
En effet, Renaud Macahart juge la Cavatine grave
mais belle, le Finale «très réussi» mais déplore le
manque de caractère du premier mouvement
Allegro.
Les commentaires du biographe Henri Hell sont davantage tranchés et précisent qu'en «dépit d'une
très jolie Cavatine, elle n'a pas grand intérêt». Il est en cela repris par Adélaïde de Place dans la notice qu'elle consacre au compositeur dans le Guide de
la musique chambre paru chez Fayard en précisant que les deux œuvres que sont la sonate pour
violon et piano et celle pour violoncelle et piano «ne figurent pas parmi les meilleures pages de leur
auteur».
Allegro - Tempo di marcha
Cavatine
Ballabile
Finale
il avait déjà composé son opus 2 : Prélude et Danse orientale déjà pour piano et violoncelle.
Cette sonate présente des affinités certaines avec le deuxième concerto, moins par son esprit, le pathétique douloureux en est absent, que par sa structure. Elle s’éloigne des canons de la forme sonate et apparaît plus comme un poème symphonique concertant, à la manière de Liszt, où la fonction orchestrale serait dévolue tantôt à l'un, tantôt à l'autre partenaire.
Le violoncelle, que le compositeur fait chanter à merveille, déploie largement la toile de fond sur laquelle le piano inscrit des arabesques. Quand c’est le piano qui prend la maîtrise, son écriture est pensée comme celle de l’orchestre.
L'introduction Lento esquisse timidement un parcours, hésite sur les registres, les colorations jusqu'au bref staccato du piano qui assied la tonalité de l'Allegro, moderato. Le violoncelle y déroule une longue mélodie, très russe de tempérament: le piano n'y intervient qu'à titre décoratif ou pour assurer l'élargissement du thème avant d'introduire la seconde idée - élégiaque, que le violoncelle ne parvient pas à épanouir malgré les impulsions répétées du clavier; la tension s'épuise sur une longue tenue du violoncelle...
L'Allegro connaît alors un second souffle: le staccato obstiné du piano mène au point culminant où se retrouvent enfin les deux partenaires, communiant dans une même rêverie songeuse, prélude à l'éclosion de toutes leurs énergies, dans l'éblouissante coda.
L'Allegro scherzando tient autant du fantastique romantique que de l'étude-tableau. Au cœur de ce climat tourmenté, la romance sans paroles du violoncelle atteste la permanence de l'espérance et d'un chant intérieur plus forts que les maléfices.
Pour l’Andante, la mélodie est exposée par le piano seul puis devient l'apanage exclusif du violoncelle: méditation profonde mais sans mélancolie, elle progresse avec égalité, du registre grave à l'aigu, dans une sorte d'apesanteur.
L'Allegro mosso entame avec vaillance un thème triomphant qui se prolonge en motif contemplatif proche d'une berceuse. Un passage central, long moment de tâtonnements, de reprises, détentes, emportements subits, jette une
lueur inattendue sur les zones incertaines de l'âme. La reprise du thème triomphant rétablit la pleine lumière: un ultime retour à la méditation... et les dernières mesures s'envolent dans l'allégresse."

   J.P. Mévisse
(N.B. Le texte sur la sonate de Rachmaninov s’inspire fortement de la notice du CD des sonates de Chopin et Rachmaninov par Gary Hoffman et Jean-Philippe Collard chez EMI)
*    * *
Les Interprètes


Michaël Ekmektchian, piano.


Michaël Ekmektchian est né en 1985 à Marseille. Il commence l’étude du piano dès l'âge de 7 ans et donne son premier récital en solo à l'âge de 9 ans.
Après avoir étudié avec Juliette Yilmazian au Conservatoire national de Région de Marseille Pierre Barbizet de 1992 à 2000, puis avoir obtenu les prix de piano et de musique de chambre dans les classes d’Erik Berchot et A-M. Ghirardelli (2003), il participe aux masters-classes de grands pédagogues tels que H. Cartier-Bresson (Paris), Leonid Sinsev (Barcelone), Junn Kano (Belgique), Mûza Rubackyté (France), Fernando Rossano (Paris-France), Diane Andersen, G. Pludermacher (France), David Miller , ou encore Christopher Elton.
En septembre 2005, il décide de poursuivre son apprentissage en Belgique et entre au Conservatoire Royal de Bruxelles dans la classe d’Eugène Moguilevsky et Olga Roumkevitch, où il étudie durant deux années. Il est alors lauréat de la fondation Calouste Gulbenkian qui lui octroie une bourse.
Il entre par la suite au Conservatoire Royal de Mons (2007), où il étudie avec Johan Schmidt pendant trois ans
En 2008 il exécute les concertos pour piano de Bach et de Janacek le Capriccio pour piano et instruments à vent, dans la Chapelle du
Conservatoire Royal avec l'orchestre de chambre du Conservatoire Royal de Mons.
Michaël Ekmektchian a été lauréat de plusieurs concours nationaux et internationaux : Concours musical de France (Paris), Premier Prix lors du concours Excellentia à Bruxelles (2009),...
Durant l’été 2009, il fut l'accompagnateur d'Adam Kornischewski et D. Rubenstein lors du stage musical de l'Académie Internationale de Dinant. Puis en 2011, l’accompagnateur des classes de Justus Grim et Tatiana Samouil au Stage international de St-Cast en Bretagne.
Il est régulièrement invité à se produire en France : Paris, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Toulon..., en Belgique : Bruxelles, au château Cheneau de Braine-l’Alleud, Dinant, Namur, Liège, au festival Musiq’3 à Flagey, en tant que soliste ou en musique de chambre.
En juin 2010, Il a obtenu les diplômes de Master en piano (avec grande distinction), pédagogie ainsi que piano d'accompagnement au Conservatoire Royal de Mons.
Michaël Ekmektchian a également réalisé des enregistrements (Scarlatti, Schumann, Babadjanian,.) accessibles sur internet (Site Youtube).


Thibault Lavrenov, violoncelle.


Né à Uccle en 1988, Thibault Lavrenov commence l’étude du violoncelle dès l’âge de 7 ans avec Etienne Capelle. Cinq ans plus tard, il fait la rencontre de Marie Halllynck, qui l’accepte l’année suivante dans sa classe au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles.
Il termine ses études en 2006 avec une grande distinction en violoncelle et en musique de chambre. Il poursuit alors ses études en Italie dans la classe de Mario Brunello. Parallèlement, il suit de nombreuses Masterclass en Belgique ainsi qu’à l’étranger avec des professeurs de renommée mondiale tels que David Geringas, Natalia Gutman, Truls Mork, Alexander Rudin.
Il s’est déjà distingué dans plusieurs concours nationaux et internationaux : Premier prix au concours Jeunes Musiciens (2002), Premier prix au concours Adrien Servais sponsorisé par le Rotary Club de Gand (2007), Premier Prix au 3ème
concours international pour violoncelle seul Drohomirecki à Katowice, Pologne (avril 2008). Il est également lauréat de la bourse Horlait- Dapsens.
Il a eu l’occasion de se produire en soliste à de nombreuses reprises : J. Haydn- concerto en ut majeur, Orchestre de Chambre de Wallonie (Mons, juin 2006) ; J. S. Bach - suites n° 3 & 6 pour violoncelle seul, retransmises en direct à la Rai 3 (Rome, septembre 2007) ; J. Haydn- concerto en ut majeur, Brussels Chamber Orchestra (Bruxelles, palais des Beaux-Arts, septembre 2007); F. Gulda- concerto, Orchestre Royal des Guides (Leuven, octobre 2007/ avril 2008); A. Dvorak - concerto en si mineur, OSEL (Louvain-la-Neuve, décembre 2008); E. Elgar - concerto en mi mineur, Orchestre de la Chapelle Musicale de Tournai (Nivelles, octobre 2009); R. Schumann – concerto en la mineur, Orchestre de la Chapelle Musicale de Tournai (Leuven, juin 2010 / Bruxelles, juillet 2010 / Tournai, novembre 2010). A. Dvorak – Silents woods, Orchestre Philharmonique de Liège (Liège, novembre 2010).
Il est actuellement violoncelle solo à l’Orchestre Philharmonique de Liège.

 

Frédéric Rouel, piano.


De nationalité belge, le pianiste Frédéric Rouel a fait ses études au conservatoire de Rotterdam dans la classe de Aquiles Delle Vigne et au Mozarteum de Salzburg, auprès de Hans Leygraf et Christoph Lieske . Il y a obtenu son Master es Artium avec la plus grande distinction. Il a également étudié avec Abdel Rahman El Bacha, Pascal Devoyon, Claire Allaert et Chantal Nieuwenhuys. Il a suivi de nombreuses masterclasses dont celle de Lev Naoumov aux cours d'étés de Tour, et celle de Pavel Gililov à la Sommerakademie de Salzburg. Frédéric joue depuis l'âge de cinq ans.
Tout au long de ses études, il récolte les distinctions dont, entre autres, au deuxième prix au concours Jeunes solistes, le prix du Mérite culturel de Waterloo , un deuxième prix au concours Chopin de Corpus Cristi, Texas, le Benelux Esso Award, et la bourse du Rotary Atomium
En tant que soliste il a donné de nombreux récitals en Belgique, en Italie, en France, en Espagne, en Autriche, en Allemagne, aux Pays-
bas, en Israël et aux Etats-Unis. Il a joué aux Festivals de Lasne et du Bois de la Cambre, au Conservatoire de Bruxelles, au Doelen à Rotterdam, au château Mirabell, à la Wiener Zaal à Salzburg, au Festival de Ravello en Italie, pour les Amigos de la Musica à Malaga et au Kurfürst- Maximilian Hall à Burghausen en Allemagne, au château de Flawinne...
Il a également joué avec différents orchestres comme l'orchestre symphonique de la RTBF, l'ensemble « La Toccatane », le Collegium Instrumentale Brugense, l'orchestre symphonique de Flandre ou l'ensemble orchestral de Bruxelles.
En musique de chambre il a joué entre autre avec le quatuor Erato, Denis Pierre Gustin, Marie Hallynck et Isabelle Cantoreggi, Alexandre Debrus, Yuki Meuthen, Sarah Dupriez, le Quatuor Kryptos, Elizabeth Wybou...
En 2006, il joue dans le cadre du festival Musica Viva à Salzbourg et est invité au Festival de Ravello pour un récital en hommage à Marie Paule Cantarella consacré à Beethoven, Schumann, Liszt.
En 2008, à la cathédrale St Michel de Bruxelles, il participe au concert organisé au profit des victimes du tremblement de terre au Si Chuan. En octobre, il joue les deux concerti pour deux pianos de Bach au Festival les Amigos de la Musica à Marbella en Espagne. En décembre et en mai 2009, il donne deux récitals Liszt à au Tokiwagi Strauss Hall et au Seinen Bunka Center à Sendai.
En 2010, il s’est produit à la St Johns School de Waterloo avec la violoniste Harriet Langley (Mozart, Brahms, Franck), au Conservatoire de Bruxelles avec l’ensemble orchestral de Bruxelles (concerto n°2 de Chopin) et il a donné de nombreux récitals en Belgique (Château de Dongelberg, d’Aigremont...) et en Espagne (Festival Amigos de la Musica).
En 2011, il s’est produit entre autres au conservatoire de Bruxelles dans le quintette de Brahms avec le quatuor Kryptos au profit de l’ASBL Le Pivot, à l’ambassade du Japon pour un concert en hommage aux victimes du tremblement de terre à Sendai, et en juin, lors de la fête de la musique à Waterloo.



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05/02/2012

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